Les cahiers de l'Islam
Les cahiers de l'Islam
Les cahiers de l'Islam


Jeudi 25 Février 2016

Appel à contributions pour le troisième volume sur le thème, Quel apport de la pensée éthique musulmane face aux défis de l’Hypermodernité ?



 
Troisième volume de la « revue académique Les cahiers de l’Islam »

Appel à contributions sur le « thème »
Quel apport de la pensée éthique musulmane face aux défis de l’Hypermodernité ?

 
Problématique

Quel apport de la pensée éthique musulmane face aux défis de l’Hypermodernité ?

          Nul ne contestera que la préoccupation éthique soit centrale dans la tradition islamique. Domaine situé à la croisée du droit, de la mystique et de la philosophie, l’éthique possède une longue tradition au sein de la pensée islamique. A l’époque classique de l’Islam, la « science des vertus (‘ilm al-akhlâq) ou les traités d’Adab avaient une importance toute particulière. Mais qu’en est-il en ce début de XXIe siècle ? A la suite de Mohamed Arkoun, doit-on penser qu’au sein de cette tradition « La préoccupation éthique […] a sombré avec le renoncement durable aux débats féconds entre les grandes instances de déploiement de la raison critique » ? [1] De nos jours, l'éthique musulmane n’est-elle pas simplement réduite à une morale de l'interdit ?

          Or, dans un monde globalisé de plus en plus complexe et individualisé, la Modernité, qui avait souhaité s’émanciper de la tradition à l'aide de la raison, semble devoir céder sa place à une Hypermodernité posant le refus des méta-récits, et proposant une vision du monde fondée sur l’anthropocentrisme des valeurs allant jusqu’à discuter l’existence même de l’éthique. Toutefois, dans le même temps, il est possible d’observer au sein des métropoles cosmopolites postmodernes une grande hétérogénéité morale entrainant une importante montée du relativisme des valeurs. C’est ainsi que la problématique du vivre ensemble se pose en nouveaux termes, nécessitant à l’évidence de penser une éthique de la fraternité afin d’atteindre l’idéal communautaire hypermoderne. D’autre part, la prise de conscience des dangers de la technoscience alliée aux intérêts économiques a fini par générer inquiétudes et angoisses sur des sujets à portée planétaire comme la notion de dignité humaine, les menaces environnementales, les manipulations génétiques, les dérèglements économiques et financiers ou encore les manipulations de l’information. Autant de sujets pour lesquels le besoin d’éthique semble rester plus que jamais d’actualité.

          Il s’agira donc ici, de chercher à savoir si face à la perte des repères éthiques, la pensée islamique possède « les ressources normatives nécessaires pour “ civiliser ” les modes d’organisation de la société globale » [2] afin d’apporter des réponses aux questions sociétales actuelles.


         Plus largement, on pourra questionner la capacité de cette pensée islamique, à se constituer en source d’une éthique universelle et se faisant à considérer ses rapports aux autres traditions religieuses et philosophiques ?

          Par ailleurs, il sera intéressant de chercher à préciser les fondements de cette éthique musulmane, en cherchant notamment à voir dans quelle mesure la Raison et les finalités de la loi (Maqâṣid ash Shari’a) devraient être utilisées conjointement aux sources scripturaires en vue de (re)fonder cette éthique ou encore, comment « libérer le potentiel de signification éthique du texte » ? [3] De même, la question d’une convergence avec les sciences humaines reste ouverte.

          On pourra enfin se demander quelle pourrait être la contribution de la mystique musulmane dans la genèse de cette éthique.

          En somme, il s’agira donc de s’interroger sur le possible apport d’une pensée éthique musulmane restant à préciser, face aux défis majeurs auxquels est confrontée l'humanité à l’aube de cette ère hypermoderne ?
 
 
[1] ARKOUN Mohammed, La question éthique et juridique dans la pensée islamique, Paris, J. Vrin , 2010.
[2] A propos du christianisme dans David Tracy, « Theology, Critical Social Theory, and the Public Realm », in Don Browning and Francis Schüssler Fiorenza, Habermas, Modernity and Public Theology, New York, Crossroad, 1992 p.36. Cité dans : Démocratie et religion dans la pensée de Jürgen Habermas par Philippe Portier, Directeur d’études à l’Ecole Pratique des Hautes Etudes (Paris-Sorbonne).
[3] Selon une expression reprise de Selami Varlik, maître de conférences en philosophie à l'Université 29 Mayis à Istanbul, et prononcée lors de l’intervention « Le Coran et l’éthique du décentrement » prononcée dans le cadre de la rencontre sur le thème "Entre liberté et morale : quelle parole des croyants aujourd’hui ?" organisée en partenariat par le GAIC et l’Institut Catholique de Paris.
 
Références indicatives

ARKOUN Mohammed,
- L'éthique musulmane d'après Māwardī̄, Paris : P. Geuthner , 1964.
- La question éthique et juridique dans la pensée islamique, Paris, J. Vrin , 2010.

DE COURCELLES Dominique, Le rôle éthique de l’islam dans un monde globalisé. Nouvelles formes financières et espaces de médiation, Finance islamique : regard(s) sur une finance alternative, Alger, Mazars Hadj Ali, 2011, p. 31-42.

DRAZ Muhammad, La Morale du Coran, Rabat, Presses universitaires de France, 1951 ; rééd. Ministère des Habous et des Affaires islamiques du Maroc, 1983.

FAKHRY Majid, Ethical theories in Islam, Leiden, E.J. Brill, 1991.

GEOFFROY Eric (coord.), Soufisme et spiritualités en contexte de postmodernité, in :
Revue Horizons Maghrébin n°65, Toulouse, Presses Universitaires du Mirail, 2012.

(AL) GHAZHĀLĪ Abou Ḥamid, La Revivification des sciences religieuses ( Ihyā’ ulūm al-Dīn ), trad. Antoine Moussali, Alger, Entreprise nationale du livre, 1985.

GOBILLOT Geneviève, « Éthique et spiritualité en islam à travers la pensée d'al-Hakîm al-Tirmidhî. Le Sage de Tirmidh, mystique khurâsânien (m. 318/930)», Revue d'éthique et de théologie morale 3/2007 (n°245), pp. 33-59.

HABERMAS Jürgen,
- Le discours philosophique de la modernité, (trad. française), Paris, Gallimard, 1988.
- L'avenir de la nature humaine. Vers un eugénisme libéral ? Trad. de l'allemand par Christian Bouchindhomme, Paris, Gallimard, 2002.

HOUOT Sandra.
- De la religion à l'éthique. Esquisse d'une médiation contemporaine. In: Revue du monde musulman et de la Méditerranée, N°85-86, 1999. pp. 31-46.
- « Éthique du corps et enjeux contemporains du sacré dans la réflexion du cheikh Sa‘îd Ramaḍân al-Bûṭî ». In : Revue des mondes musulmans et de la Méditerranée, N°113-114, novembre 2006. pp. 327-342

ISAMBERT François-André, De la religion à l'éthique, Paris, Cerf, 1992.

LEITES Adrien,
- En quête de l'éthique musulmane I. La notion d'égalité en islam. In: Arabica, BRILL, T. 50, Fasc. 2 (Apr., 2003), pp. 177-198
- En quête de l'éthique musulmane II. Les deux principes de différenciation. In: Arabica, BRILL, T. 50, Fasc. 3 (Jul., 2003), pp. 322-349

LYOTARD, Jean-François, La condition postmoderne, Paris, Editions de Minuit, 1979.

(AL)-MĀWARDĪ, De l'éthique du Prince et du gouvernement de l'État, traduit de l'arabe par Makram Abbes, précédé d'un "Essai sur les arts de gouverner en Islam", Paris, Les Belles Lettres, coll. « Sagesses médiévales », 2015.

MISKAWAYH (320/21-420), Traité d'éthique Taḏhīb al-' ahlāq wa taṭhīr al-aʿrāq; traduction française avec introduction et notes par Mohammed Arkoun, Paris, J. Vrin, 2010.

NASR, Seyyed Hossein, L'islam traditionnel face au monde moderne, trad. de l'anglais par Gisèle Kondracki avec la collaboration de Christian Pourquier, Lausanne, l'Âge d'homme, 1993.

OZDEMIR Ibrahim, Islam and Ecology, Toward an Understanding of Environmental Ethics from a Qur’anic Perspective, Ed Richard C. Foltz, Frederick M. Denny and Azizan Baharuddin, Harvard University Press, 2003.

RAMADAN Tariq, Introduction à l'éthique islamique - Les sources juridiques, philosophiques, mystiques et les questions contemporaines, Paris, Presse du Châtelet, 2015.

TOSHIHIKO Izutsu, The Structure of Ethical Terms in the Quran, Chicago, ABC International Group, 2000.

VADET Jean-Claude, Les idées morales dans l'islam, Paris, PUF, 1995.

WEBER Max, L’éthique protestante et l’esprit du capitalisme, Paris, coll. Champs, éd. Flammarion, 1999.
 
 

Conditions de soumission

Les textes proposés sont des originaux et correspondent aux thématiques liées au fait Musulman couvertes par la revue. Toutes les disciplines de sciences humaines sont acceptées; la revue étant ouverte à tous les courants de pensée, en dehors de ceux qui prônent des valeurs extrémistes.
Les propositions d’articles (résumé de 2 000 signes, plan d’article et court CV de l’auteur – titre, organisme et publication dans le domaine couvert par l’article –) sont à envoyer  au comité de rédaction de la revue à l’adresse email :  lescahiersdelislam@gmail.com)

Avant le 30 avril 2016

Les propositions d'article seront alors évaluées par le comité de rédaction. Le secrétariat de rédaction informera les auteurs vers le 15 juin 2016. Après avis du Comité de rédaction renvoyé, les auteurs des propositions acceptées auront jusqu’au 15 novembre 2016 pour envoyer leur texte (se reporter aux recommandations en fin du texte du présent appel). Celui-ci sera soumis au comité de lecture et de rédaction de la revue.

L’article prendra place dans le second numéro de la Revue académique Les cahiers de l’Islam, prévu pour paraître à la fin du premier semestre 2017.
Le comité de rédaction profite de cet appel à contribution pour rappeler que la revue comporte également une rubrique « Recension » et  « Hors-thème ».
 
Calendrier

Dans la mesure du possible les dates précisées ci-dessous devront être respectées.
 
  • Date de soumission des propositions : 30 avril 2016
  • Communication de l’acceptation des propositions d’articles : 15 juin 2016
  • Date de remise des articles pour expertise : 15 novembre 2016
  • Date de retour des expertises : Fin février 2017
  • Date de remise des articles dans leur état définitif : 30 avril 2017
  • Remise du manuscrit à l’éditeur : 01 juin 2017
  • Date de publication : Début juillet 2017
 
Format

L’article doit être rédigé en français dans la mesure du possible et ne pas dépasser 50 000 signes (notes, illustrations, bibliographie et espaces compris).

Il doit être accompagné de deux résumés : le premier en français, le second en anglais (2 000 signes chacun) et de 5 mots clés en français et en anglais. Les résumés, les mots clés peuvent être fournis dans d’autres langues que le français et l’anglais. En particulier en Arabe.

Pour un compte rendu d’ouvrage, le nombre de signes ne devra pas excéder 12 500 signes.
Dans le cas ou les auteurs proposeraient des images (photographies, illustrations) pour valoriser leur texte, celles-ci devraient être au format jpg ou pdf haute définition (300 dpi), format paysage et en noir et blanc.
 

Envoi et réception
 
L’article, ou la proposition d’article doit être envoyé(e) par courriel au secrétariat de rédaction de la revue (lescahiersdelislam@gmail.com) en version Word. Le secrétariat de rédaction vous confirmera la réception de cette proposition et vous indiquera les délais de lecture par les membres du comité de rédaction. Une réponse est adressée à l’auteur pour confirmer ou infirmer la proposition. A minima, il faut compter plus de cinq mois entre la date de soumission des articles et leur publication effective dans la revue. L'acceptation d’un article n’implique pas d’engagement quant à la date de parution, compte tenu du programme éditorial de la revue.
 

Copyright
 
Les textes ne sont pas rémunérés. En contrepartie de la publication de son article, l'auteur cède à la « Revue académique Les cahiers de l’Islam », à titre exclusif et définitif l’ensemble des droits patrimoniaux de la propriété littéraire et artistique sur leur contribution. Les droits cédés comprennent notamment : les droits de traduction et de correction ; les droits de représentation, de reproduction, d’intégration même partielle et de diffusion directe ou indirecte sur un quelconque support d’information et/ou de communication, électronique ou non, et par tous procédés actuels et futurs ; le droit d’utiliser les contributions et leurs adaptations pour la promotion de Lectures. Les contributeurs garantissent « La Revue académique Les cahiers de l’Islam » de la jouissance des droits cédés contre tout trouble, revendication ou éviction quelconque. Ces droits pourront être exploités par la « Revue académique Les cahiers de l’Islam » pendant la durée de la propriété littéraire et artistique, en toutes langues et en tous pays.
 
Toutefois, l’auteur peut utiliser son article dans le cadre d’une communication scientifique ou encore publier ce texte dans un ouvrage auquel il contribue en citant la référence de la revue (sur ce dernier point, après accord préalable de la Revue académique Les cahiers de l’Islam).

Les contributeurs autorisent le comité de rédaction à procéder aux remaniements rédactionnels de leurs articles qui pourraient être rendus nécessaires par le besoin d’harmonisation de l’ensemble de la revue. Ces remaniements sont soumis aux rédacteurs, qui les valident avant la publication définitive des articles. Une fois validé par les deux parties, les textes ne pourront plus faire l’objet de modification de la part de la Revue académique Les cahiers de l’Islam.

Si malgré les efforts de part et d’autre, la contribution d’un rédacteur ne peut pas être acceptée par « La revue académique les Cahiers de l’Islam », soit pour des raisons de qualité, soit en raison de sa non-conformité avec l’objet et l’esprit de la revue, soit en raison du non-respect de la présente charte, ladite contribution n’est pas publiée dans « revue académique les Cahiers de l’Islam », et le rédacteur recouvre la jouissance de la totalité de ses droits concernant cette contribution.
 

Recommandations aux auteurs
 
Recommandations générales
- mettre des intertitres tous les 1500 signes et éviter un double niveau d’intertitres si possible,
- ne pas mettre d’espace entre chaque paragraphe, passer à la ligne tout simplement.
- glisser deux lignes entre le dernier paragraphe de partie et le titre suivant.

Dans le texte:
- supprimer les doubles espaces entre les mots,
- éviter les mots collés entre eux, sans espace(s),
- éviter les espaces fautifs en trop entre le mot et la virgule qui le suit,
- virgule(s) fautive(s) séparant sujet et verbe, attention au sens.
- mettre une ligne entre le titre et le premier paragraphe de la partie concernée

Document:
Interligne : simple
Marges : 2,5 (toutes)
Tabulations de début de paragraphe : positif 0,5 cm
 
Haut du texte:
Titre : centré, Times new Roman, 12, gras
Nom de l’auteur : Prénom (en minuscules), Nom (en petites majuscules) en times 11 centrés en dessous du titre (intervalle double)
 
Corps du texte:
Police : Times new Roman, taille 11

Intertitre : Times new Roman, taille 12, italique, gras
Notes de bas de pages: Times new Roman, taille 9 (maximum 20 notes de bas de pages)
 
Référence:
Les citations dans le texte seront appelées par le nom de famille de l’auteur et l’année de publication, un point-virgule séparant les différents ouvrages. Lorsqu’il s’agit d’une citation directe le numéro de page doit être indiqué après deux points. S’il y a deux auteurs, les lier par & ; s’il y en a davantage, mettre le nom du premier auteur, suivi de et alii, en italique.
 
Exemple : (Gimaret, 1985) ; (Gimaret, 1985 ; Berque, 1965) ; (Gimaret, 1985 : 22) ; (Gimaret, 1985 : 22-23) ; (Gimaret & Berque, 1986 ; Gimaret & alii, 2006)
 
Guillemets et citations:

Les citations seront entre guillemets français dans les textes anglais « » ou anglais dans les citations imbriquées ou les textes anglais “ ” et ne seront pas en italique.

En revanche une expression ou un terme dont on souligne qu’il n’est pas l’usage généralisé seront placés en italique.

Translittération :
Le système de translittération devra être celui de la norme ISO 233-2 (1993). 
Certains noms propres qui possèdent une graphie usuelle en français pourront être donnés comme tels (exemple : Fatimide, Médine, Coran, Hedjaz, etc.).
La marque du féminin, le "Ta marbouta" ne sera pas retranscrit. Pour l’écriture de l’article, on fera la distinction a été faite entre les lettres lunaires (al-) et les lettres solaires (ad-, at-…).
Hormis pour les noms propres, les termes translitérés devront être placés en italique dans le texte.

Nombres et pourcentages:
Pour les nombres, concernant les "siècles" ex. "XXe siècle", le chiffre doit être saisi en petites capitales ou, si vous n’avez pas trouvé comment mettre les petites capitales, laisser le nombre en minuscules.
Tous les pourcentages sont mis sous la forme : 8,15 % (chiffre/virgule/chiffre/espace insécable/%).
Pour les nombres en valeur absolue, séparer les milliers et les centaines par un espace insécable, non une virgule (120 353).
 
Bibliographie :
La bibliographie se trouve en fin d’article. Elle ne comprend que les références des ouvrages cités dans le corps de l'article.
Les noms d’auteurs seront classés par ordre alphabétique et, s’il y a plusieurs références pour un même auteur, indiquez-les par ordre chronologique.
Ne pas mettre de ligne supplémentaire entre chaque référence de titre et d’auteur dans la bibliographie, aller à la ligne suffit.

Ouvrages :
Nom(s) de(s) l’auteur(s) en petites majuscules, suivi de l’initiale du prénom entre parenthèses puis de l’année de publication, du titre de l’ouvrage en italique, du lieu d’édition, de la maison d’édition, éventuellement de la collection.

Ouvrages collectifs :
Nom(s) de(s) l’auteur(s) en petites majuscules, suivis des initiales des prénoms entre parenthèses et entre parenthèse, (dir.), pour « sous la direction de » ou (ed.), pour « éditeur scientifique », puis de l’année de publication, du titre de l’ouvrage en italique, du lieu d’édition, de la maison d’édition, éventuellement de la collection.

Articles dans une revue :
Nom(s) de(s) l’auteur(s) en petites majuscules, suivi de l’initiale du prénom entre parenthèses puis de l’année de publication, du « titre de l’article » entre guillemets français, du nom du périodique en italique, éventuellement du volume en question, du n° et du mois, enfin de la pagination de l’article dans la revue.

Articles dans un ouvrage collectif :
Nom(s) de(s) l’auteur(s) en petites majuscules, suivi de l’initiale du prénom entre parenthèses puis de l’année de publication, du « titre de l’article » entre guillemets français, suivi de in (en italique), de l’initiale du prénom du coordinateur ou de l’éditeur scientifique, puis de son nom en minuscule, du titre de l’ouvrage en italique, du lieu édition, de la maison édition, éventuellement de la collection, enfin de la pagination du chapitre dans l’ouvrage.

Rapport, thèse, littérature grise, communication à colloque :
Même règle que pour les livres, mais le titre n’est pas en italique (éventuellement, mettre « non paginé »)




Dans la même rubrique :
< >

Lundi 29 Juillet 2013 - 00:44 Projet éditorial




LinkedIn
Facebook
Twitter
Academia.edu
ResearchGate


Notre newsletter



Nos éditions




Vient de paraître
SANGARE_Penser_couv_France_Dumas-scaled
Omero
Alc
rivet
islam et science
Mino
Sulami
Soler
Maghreb